dimanche 13 avril 2008

Fabrication partie I


Tout d'abord nous allons parler du fond de l'instrument:


Celui-ci est composé de 11 planches de sapin de 30 an d'age, et d'une douzième venant a la perpendiculaire des autre pour renforcer les collages.


Les photos:








Maintenant nous allons voir la fabrication des sautereaux

D'abord on usine le corps du sautereau en lui même, et ensuite la partie mobile (languette ou bascule)

L'espace pour la languette a été fait en partie sur les sautereaux présentés et la plupart ne sont pas encore coupé en 2 (il y en a 2 par grande baguette). Bien entendu il ne faut pas oublier d'en faire plus que nécessaire, ici environ 150 et 135 languettes.

Enfin, bien poncer le tout au 600. Cela doit être lisse comme une peau de bébé !

Les photos :









La Fabrication du clavier et de son châssis :

La particularité du clavier italiens a comparé de ses homologues des autres écoles est son dynamisme, cela grâce a une balance fortement décentrée vers les feintes.

Cela donne en effet un mouvement plus ample de la queue pour un enfoncement de la touche plus faible, ce qui se répercute sur la sonorité du clavecin, par un jeux plus sec et plus apte a des mesures jouées non liées.


Pour guider la queue des touche je n'ai pas choisis le système classique italien avec des languette coulissant dans un peigne mais un système plus simple a mon sens.

le clavier est en contreplaqué pour des raison de travail du bois, en effet le contreplaqué est assez sable et risque moins de travailler qu'un bois massif. (Attention ce conseil est valable pour un contreplaqué de qualité (contreplaqué de bouleau notamment, conseil de Mr Grimonpez daniel)


Les feintes serons faite de zébrano et les touche diatoniques serons plaquées de cocobolo.

Enfin l'arcature des touche est en érable ondé, les baguette on simplement été découpées et mise au dimensions.

Les photos












Le sommier

Rien de transcendant, j'ai commencé a découper le sommier en hêtre massif.

Les photos :





Voila ce sera tout pour aujourd'hui !

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Pas mal ton espace et tu explique bien même si pour une novice comme moi certaine notion reste un peu floue!Au moins maintenant je vois un peu mieux ce que tu fais!

Mélou

Jean-Pierre a dit…

Quel est ce système autre qu'italien pour le guidage des touches ?
En quoi le peigne est-il gênant ?

Jean-Pierre

Bartkowski Joris a dit…

Le système italien utilise un piegne dans lequel coulissent des languettes insérées en bout de touche.

Je vais utiliser une méthode légèrement différente qui consiste a faire un fente en bout de touche pour avoir un système de guidage par pointe.

Le peigne n'est pas du tout gênant en sois même excellent cependant il nécessite une précision assez pénible afin d'avoir des touches bien perpendiculaires les unes aux autres !

Joris.

Bartkowski Joris a dit…

Le système italien utilise un piegne dans lequel coulissent des languettes insérées en bout de touche.

Je vais utiliser une méthode légèrement différente qui consiste a faire un fente en bout de touche pour avoir un système de guidage par pointe.

Le peigne n'est pas du tout gênant en sois même excellent cependant il nécessite une précision assez pénible afin d'avoir des touches bien perpendiculaires les unes aux autres !

Joris.

Jean-Pierre a dit…

Autrement dit, c'est la solution des claviers supérieurs quand il y a deux claviers.
Jean-Pierre

Bartkowski Joris a dit…

Oui c'est le principe cependant dans un clavier double les pointes de guidage des touches sont dans une mortaise entre la pointe de balancement et la partie feutrée, alors que la c'est une mortaise ouverte (oui, ce n'est donc plus une mortaise) qui se situe aprés le feutre de la touche a l'endroit ou l'on placerai les pointes ou lamelles dans le cas d'un guidage par peigne.